Ettore Bugatti

La Bugatti T59 sort tout droit de l’imagination et des usines d’Ettore Bugatti et de son fils Jean. Elle a été produite en 8 exemplaires entre 1933 et 1936. Elle succède à la T51 de 1931 et à la T54 de 1932. Deux modèles supplémentaires ont été fabriqués ultérieurement avec des pièces détachées d’origine. Ce modèle est considéré comme la voiture de sport la plus élégante d’avant-guerre. Son design et ses lignes fluides en font encore aujourd’hui un modèle de référence.

Ce modèle est équipé du moteur n°5. Il a été conduit par René Dreyfus qui a remporté la 3^ème place au Grand Prix de Monaco et la victoire au Grand Prix de Belgique à Spa en 1934. En 1937, aux mains de Jean-Pierre Wimille, la Type 59 Sports devient la voiture la plus rapide de France.

Repeint en noir avec des bandes jaunes, en 1938, le souverain belge Léopold III (grand-père de l’actuel roi Philippe) acquiert ce modèle qu’il conserve jusqu’en 1967. Elle a été utilisée pour des évènements royaux qui lui ajoutent une touche de glamour. Son lien avec la royauté belge en fait un objet de collection inestimable.

Passée entre plusieurs propriétaires depuis, elle a été vendue aux enchères à Londres en septembre 2020.

Sa restauration récente lui a valu de remporter Pebble Beach en 2024, gage d’un modèle d’exception et d’histoire dont l’héritage a traversé les années.

Modèle au 1/18 de la Bugatti T32 qui participa au Grand Prix de Tours en 1923. Le capot avant est démonté et ouvert sur tout le compartiment moteur. Il n'y a pas de décalques appliqués sur le modèle. 

La voiture qui a fait le meilleur résultat est commercialisée sous la référence 118006/6M. Pour finaliser un des 3 autres numéros qui a participé à la course ; n°11, 16 ou 18, la miniature est donc livrée avec une planche de décalcomanies correspondantes. 

Le modèle LE MANS miniatures est conduite par un pilote accompagné de son mécanicien. La version Pantheon inclut deux mécaniciens qui s'affairent sur la voiture.

Reproduction au 1/18ème de la Bugatti T32 spécialement conçue pour participer au Grand Prix de Tours de 1923.

Il se déroule 1 mois seulement après les premières 24 Heures du Mans qui ont vu les Chenard & Walcker remporter les 1ère et 2ème places. L’équipe officielle Bugatti n’avait pas fait le déplacement.

La carrosserie de ce nouveau bolide est très avant-gardiste. Quatre voitures sont engagées : seule la voiture n°6 d’Ernest Friderich termine la course et à la 3^ème place. 

La version LE MANS miniatures est pilotée par Ernest Friderich accompagné de son mécanicien. La version Panthéon n'inclut aucun personnage.